« Les êtres humains se détruisent dans la concurrence. Ils se forment et grandissent dans la coopération » (Christine Castejon)
Quel gâchis que cette énergie dépensée dans des entreprises concurrentes pour concevoir et produire finalement le même produit ! Alors que la même dépense d’énergie aurait pu être utilisée pour le bien public : l’éducation, la santé, l’environnement, etc.
Tout ce qui peut est considéré comme bien commun doit être retiré de la sphère marchande et placé sous gestion et contrôle des citoyens
Les services publics répondent aux besoins collectifs, à la recherche d’égalité entre les personnes et entre les territoires. Pour qu’ils remplissent pleinement leur mission, il faudra placer les citoyens, c’est à dire les usagers que nous sommes, au centre des décisions.
On fera entrer dans ce cadre les secteurs de l’énergie, de l’eau ou encore des transports collectifs.
Les banques et les médias audiovisuels devront aussi se plier aux attentes des citoyens.
A terme, ces services publics de base pourraient être mutualisés dans de grands services publics européens fonctionnant sur le même principe.
Les services de soins irrigueront l’ensemble du territoire « quoi qu’il en coûte » : 1 mairie, 1 école, 1 médecin
La santé, au même titre que l’éducation, est un service public et doit donc être présente en chaque point du territoire. cela veut dire que les professionnels de santé devront s’installer là où il en manque, sinon où est le service rendu à la population ?
Inciter à la prévention et la rendre disponible gratuitement (l’un n’allant pas sans l’autre). La prévention coutant au final bien moins cher à la société que des soins effectués tardivement, tout le monde sera gagnant.
Restaurer les anciens taux de remboursement des soins prescrits, afin que personne ne renonce à se soigner.
Entrée de l’État au capital des grands groupe pharmaceutiques français pour en réguler le fonctionnement, en mettant en avant le service rendu et non pas les profits des investisseurs privés. A terme, création d’un grand pôle pharmaceutique public européen.
Maîtriser sa propre vie
Autoriser le suicide assisté : on ne choisit pas de naître, et on ne pourrait pas choisir de mourir ? Mais on déciderait de quoi alors ? Marre que ce soient toujours les autres qui décident à notre place (contraception, avortement, mariage, etc.) !
Permis de conduire à validité limitée afin de s’assurer que les capacités physiques et intellectuelles requises initialement sont toujours remplies. Rappel : le conducteur est le 1er responsable des accidents…